Doctor Who, le vendredi c’est permis ! #6
Aujourd’hui, un numéro qui a du chien. En effet, le sujet de cet article sera le compagnon quasi-canin du Docteur : K9.
K9, un chien robot ?
K9 est donc effectivement un chien robotique. Il a plusieurs fois été détruit et est revenu, un peu à la manière de Kenny dans South Park, mais quand même moins souvent.
Il y a eu 5 éditions du compagnon canin, nommées respectivement de Mark I à Mark IV avec une version I.II.
K9 est apparu pour la première fois en 1977 dans la 15ème saison de la première série Doctor Who.
Il s’agit donc d’un robot qui a été construit par le professeur Marius qui en fait cadeau au Docteur à la fin de l’épisode.
K9 n’est pas qu’un vulgaire robot à apparence canine, oh non. Non seulement il parle, mais il est doté de pas mal de fonctionnalités très pratiques, notamment des capacités d’analyse chimique. Son intelligence ajoute également de l’intérêt à sa compagnie.
Mais il ne faut pas croire que K9 est inoffensif parce qu’il est un compagnon du Docteur, vous seriez surpris, ses lasers sont dévastateurs et vous feriez bien de vous méfiez petits impertinents…
La Première version de K9 est détruite à la fin de la saison 15 de la première série Doctor Who et on ne le reverra que pas mal de temps plus tard.
Une nouvelle version sera offerte à Sarah Jane Smith, une des compagnes du docteur dont je parlerai beaucoup plus en détail plus tard, avec un hors-série en prime parce que vous le valez bien, dans le pilote d’un spin-off qui ne se fera finalement pas faute de succès.
K9 réapparait en 2006 dans la nouvelle série Doctor Who, aux cotés de Sarah Jane Smith. Il est malheureusement hors-service mais le Docteur le réparera pour lui laisser le temps de se sacrifier pour sauver le monde. Quelle vie de chien je vous jure ^^
On le reverra ensuite dans la série The Sarah Jane Adventures, série spin-off de Doctor Who (oui, ce sera ça le sujet du hors-série, bien vu). Il accompagne l’héroïne de manière plus ou moins régulière, il mène parfois des missions en parallèle. Il reste d’ailleurs pas mal de temps accaparé par le fait de réparer un trou noir.
Ce toutou robot, malgré son apparence plus que ridicule, arrive à s’humaniser de manière surprenante. Sa voix y est pour beaucoup, ainsi que son intonation. Certaines mauvaises langues diraient qu’il joue mieux qu’une certaines actrice d’une certaines série de films d’un certain type de vampire… et ils n’auraient pas forcément tort… ^^
On s’attache beaucoup à ce personnage, et ces morts provoquent des petits pincements au cœur… Oui bon, au final ça reste un robot qui ressemble à une corbeille à papier croisée à un aspirateur. Mais son sens du sacrifice, et ses petites prises de bec avec d’autres super ordinateurs (dans la série de Sarah Jane) lui donnent une aura à laquelle on ne peut que succomber. C’est aussi ça la force de Doctor Who.