Last Man Un bel Hommage à Toriyama
Dossier # 1.4 :
Last Man Quand le manga devient Franco-Belge
On y est. Le dernier ouvrages de ce dossier consacré au mangas français. Cette semaine on s’attaque à Last Man
Last Man est sorti chez Casterman, écrit et dessiné à six mains par Balak, Sanlaville et Vivès. Il y a pour l’instant deux tomes de sortis et le prochain arrivera le 6 novembre prochain.
C’est l’histoire d’Adrian, un jeune garçon qui rêve de remporter le grand tournoi d’arts martiaux et qui vit avec sa mère. C’est l’histoire de Richard, un voyageur mystérieux qui veut remporter le grand tournoi. C’est deux personnages sans coéquipiers, vont s’associer, combattre, s’aider l’un l’autre. C’est une histoire de baston, c’est une histoire de rencontres. L’action se mêle aux sentiments personnelles, les deux se mélangent, pour au final devenir indissociable et raconter une histoire.
Last Man est une bande dessinée, à la fois Franco-Belge et manga, à la fois ni l’un ni l’autre. Au delà du genre, c’est une bande dessinée. Chacun des auteurs à mêlé ses influences, à la fois asiatiques et européennes pour ressortir un mixe de tout ce qui les as marqués.
Last Man est une évolution possible très intéressante pour le manga. Un mélange de genre, de découpage de cases, d’ombres, de noirs. A la fois sensible, et bourrin, nerveux et tranquille. Last Man est cool et profond. Une véritable œuvre personnelle réalisé à trois. Comme quoi la BD c’est comme le sexe, c’est meilleur à plusieurs.
