Le geek, sa blonde et l’assassin : Vaudeville trash
L’amant dans le placard version What the F**k
Ce qui suive TAG le savent, Ici on aime bien Akata. Entre Orange, Daisy et Magical girl of the End, Akata a su nous convaincre de a capacité à nous surprendre. Et c’est encore ce qu’ils ont fait avec Le geek, sa blonde et l’assassin (oui, c’est une avalanche de lien).
« À 19 ans, Kin-wo mène une vie (presque) parfaite : il dessine des mangas pour des fanzines (même s’il n’arrive pas à être publié chez un éditeur), et sort aussi une fille super sexy. Mais ce quotidien va déraper très vite quand, par mégarde, il tue involontairement son meilleur pote ! Pour ne pas finir ses jours à croupir en prison auprès de codétenus douteux, Kin-wo va devoir réfléchir, et vite ! Le voilà donc à surfer sur le web, pour chercher comment se débarrasser d’un cadavre, sans faire trop d’éclaboussures. La mignonne Mary se propose de l’aider mais… est-elle vraiment la fille qu’elle prétend ? «
« Le geek, sa blonde et l’assassin » est le deuxième titre de la collection « What the fuck » d’Akata. Et on comprend pourquoi. Sans être un chef d’oeuvre, ce titre est une vrai bouffé d’air frais. Une histoire qui part dans tous les sens, avec une morale à vous retourner un sourcil (essayez pour voir). Bref, c’est inutile donc indispensable. Tous vos amis le prendront quand ils le verrons dans votre étagère, et ça c’est un argument suffisant.
PS: A la fin du moi, on vous parlera du prochain titre Akata : Ladyboy vs Yakuza. Ça, ça sera grandiose !