Robin : Année Un La review
Robin : Année Un Les débuts du jeune prodige
Robin, un nom de super héros pour plusieurs personnages hors du commun : le jeune prodige Dick Grayson, le rebelle Jason Todd, le détective Tim Drake et enfin Damian Wayne, le fils prodigue. Mais s’il n’y en a qu’un à se souvenir, c’est bien sur le premier : Dick grayson qui deviendra, bien des années après, Nightwing. C’est donc ce premier Robin qu’Urban Comics a décidé de mettre en avant Dans Robin : Année Un.
Pour ceux qui serait perdus, Robin c’est lui :
« Jeune acrobate de cirque, Dick Grayson a vu ses parents abattus lors d’une représentation à Gotham City. Recueilli par le milliardaire Bruce Wayne, Dick perce le secret de sa double identité et devient Robin, le jeune prodige. Mais ses premiers pas en tant qu’assistant de Batman ne seront pas de tout repos. »
Ce volume s’intéresse donc aux premières aventures de Dick Grayson. Et c’est passionnant. Le trait rend hommage au personnage, en arrivant à garder le coté enfantin et en lui donnant une allure de jeune dieu grec. Un prémice de l’athlète sans rival qu’il deviendra. Déjà, le conflit avec Batman est sous-entendu, ainsi que la célèbre phrase de Tim Drake « Il faut un Robin à Batman ». Dans ce récit Batman prend donc une allure très paternaliste, prompte à gronder, il retournera pourtant Gotham à la recherche de son protégé.
« Robin Année Un » est un coup de coeur, une oeuvre puissante tout autant au niveau du dessin (Lee Weeks, Javier Puldo et Marcos Martin au commande) que du scénario (Bruce Canwell, Scott Beatty et Chuck Dixon). Un must’have qui nous rappelle encore une fois que Batman est le meilleur des héros.
PS: Pour vous faire une idée, vous pouvez lire un extrait ici.
