Wolverine, la critique par @angrybef
Je ne vous présente plus ma chère et tendre @angrybef, elle vous avait déjà concocté une critique d’Iron Man 3 en juin dernier. Après avoir vu Wolverine : Le combat de l’immortel je n’ai pas eu beaucoup à la pousser pour qu’elle reprenne les gants pour vous offrir une nouvelle analyse !!! La voici donc en plus cette fois ci illustrée par un artiste qui nous a fait le plaisir de rejoindre la communauté de Techartgeek : Docteur Paper.
Wolverine : Le combat de l’Immortel ou quand la boule de poils vient griffer le divan.
Ah qu’ils avaient l’air bien dubitatifs mes deux compères MightyeagleLol et Popo Le Vil durant le générique de fin de ce Wolverine! Quand j’ai ajouté « Moi j’ai bien aimé », la réaction ne s’est pas faite attendre de la part du barbare de la bande :
Forcément les gonzesses dès que ça a des griffes et des poils hein …forcément … Greumeuleuh meuleuh (Ogre pas content)
Effectivement mon cher Popo Le Vil n’a sans doute pas tout à fait tort dans son analyse de la psychologie féminine mais c’est un autre débat…
Prenez place, Allongez -vous…
Qu’ils se sont donc fourvoyés nos petits fans de comics qui attendaient de ce film moult combats et autre débordements de testostérone. Il est vrai que le sous titre « Le combat de l’immortel » amenait de grandes perspectives du type « Du sang , de la chique et du mollard », mais il n’en fut rien.( ou, à tout le moins, peu)
De même que dans cet opus, Wolverine n’a pas à faire face à un super vilain de manière purement frontale, eh oui mes p’tits lapins, le combat que notre sac d’adamantium doit mener, c ‘est un combat contre lui-même.
Poursuivez…
En bref, notre Wolverine se doit de faire son deuil, ni plus ni moins. Là, les puristes de la psychologie de comptoir se régaleront à répertorier les 5 ou 7 phases ( selon les écoles ) du deuil présente dans le film. Quoiqu’il en soit ça fonctionne!
Pourquoi ?
Parce que bien que n’étant pas spécialiste, je sais pertinemment que je ne prends pas trop de risques en avançant que Wolverine est l’un des personnages les plus torturé de la Marvel (Doté de griffes, il a vécu plus de 9 vies…), que cette transition était donc un « mâle » nécessaire au retour des X-Men, la scène de fin faisant oublier toutes les langueurs du film et nous laissant sur notre fin.