Clash of Rage : la preview
Clash of rage : la guerre des Elfes
Pour la preview de cette semaine, je vais vous parler de Clash of Rage, un jeu de Frédéric Guerard, auteur du jeu Titanium Wars, édité chez Euphoria Games, avec aux illustrations Jean-Baptiste « Djib » Reynaud qui a officié sur La Nuit du Grand Poulpe.
« Depuis des siècles les Elfes arrogants contrôlent le monde. Quelques clans irréductibles tiennent toujours le choc, et luttent contre leur hégémonie.
Depuis peu, les Elfes semblent s’être affaiblis. Sûrement le résultat de toutes ces années de corruption et d’auto-satisfaction. Ils baissent un peu trop la garde, c’est le
moment idéal pour tenter de reprendre le contrôle !
Incarnez le chef d’un clan. Formez vos troupes, équipez-les, et partez reconquérir les terres des Elfes ! Pour obtenir la suprématie, vous devrez vaincre les Elfes et vous défaire des autres clans qui se mettront en travers de votre route ! »
Dans Clash of Rage vous allez conquérir des cités Elfiques, et vous battre contre les clans ennemis. Lorsqu’un joueur atteint les 30 points de victoire, la partie prend fin.
La grande force de Clash of Rage, c’est de pouvoir, à chaque partie, créer un monde totalement différent des parties précédentes. Pour cela vous avez à votre disposition des tuiles modulables avec des lieux spéciaux, des portails de téléportations.
En début de partie on choisit un clan, et place un bastion dans une région de son choix. Puis vous allez acheter des équipements au marché noir, déplacer votre troupe, recruter des unités, et bien évidemment, vous fighter la tronche !!
Les combats se règlent, avec des dés. Il est possible de fuir le combat comme un traitre, ou bien de garder la tête haute, et de lancer des dés (j’aime lancer des dés).
Je n’ai aucune information sur la matériel du jeu, seules les illustrations de « Djib » sont disponibles, mais la mécanique de jeu, et son univers font vraiment envie.
Donc on attend impatiemment d’avoir plus d’info et surtout des photos du jeu à proprement parler.
Affaire à suivre ….
