Onirim l’application : la review
Onirim : rêve digital
« Vous êtes un Promeneur des rêves, perdu dans un mystérieux labyrinthe, et devez trouver les Portes oniriques avant que le temps du rêve ne soit écoulé –sous peine d´y errer à jamais!
Vous pouvez explorer minutieusement chaque type de pièce (bibliothèques aux couloirs sans fin, aquariums qui échappent aux lois de la physique, jardins aux plantes fantasmagoriques, et observatoires aux rouages titanesques) en vous y attardant, ou vagabonder dans les chambres du rêve en espérant que la chance fasse apparaître l´une de ces portes…
Mais vous devrez dans tous les cas déjouer les pièges des redoutables Cauchemars qui hantent les couloirs du labyrinthe! »
Onirim est un jeu sorti en 2010 chez Filosofia, et fait parti d’une série de 4 jeux issus du même univers, avec Sylvion, Castellion et Nautilion. Asmodée Digital continu à adapté les jeux les plus intéressant de leur catalogue, et depuis quelques mois est sorti sur tablette et sur Steam l’adaptation d’Onirim, un jeu solo ou en cooperation avec un autre joueur.
Je n’ai pas pu testé la version physique du jeu, du coup pas de review sur TAG, donc avant de parler de l’application en elle même, je vais vous expliquer comment ça se joue.
Dans Onirim vous êtes un promeneur des rêves perdu dans un labyrinthe, et pour en sortir, il va falloir trouver les 8 portes oniriques. Le joueur reçoit 5 cartes en main. Il y a 3 catégories de cartes, les lieux, les portes et les songes. Les lieux peuvent être de 4 couleurs différentes rouge, bleu, verte et beige et ont des symboles comme des clés, des lunes, des soleils.
Donc à chaque tour, vous jouez une carte, et vous en piochez automatiquement une, il faut toujours avoir 5 cartes en main. Pour rappel, pour gagner il faut recouvrir les 8 portes, et pour trouver une porte, il faut réussir à poser 3 cartes de la même couleur, avec pour contrainte, de ne jamais avoir 2 symboles identiques qui se suivent. Dès qu’une porte est découverte, on mélange la pioche. Le petit soucis dans Onirim, c’est que dans la pioche, il y a des cartes cauchemars, et lorsque vous en piochez une, il y a 4 façons de s’en tirer :
- Vous défaussez toute votre main, et vous repiochez 5 cartes.
- Vous défaussez les 5 prochaines cartes de la pioche.
- Vous pouvez défausser une carte clé, si vous en avez une.
- Vous pouvez défausser une de vos portes, si vois en avez découverte une.
Dans la pioche, il y a des portes, et il est possible que en piochiez une, dans ce cas si vous possédez une de la couleur de la porte et bien la porte est découverte, et dans le cas contraire, et bien la porte finira par être remélangée dans la pioche.
Comme ça, ça parait plutôt simple, sauf que la pioche n’est pas inépuisable, et qu’il faut avoir réussit à débloquer toutes les portes avant que la pioche ne soit épuisée, et là c’est une autre paire de manche.
L’application dans tout ça ?
L’application d’Onirim retranscrit très bien l’univers du jeu, le tutoriel est bien fait et accompagne le joueur pas à pas lors de sa première partie, tout est bien illustré, expliqué. L’application reste toutefois sobre, sans fioriture, pas d’animation, mais le jeu ne s’y prête pas non plus.
L’application d’Onirim n’est pas la meilleure du catalogue d’Asmodée Digital, mais elle propose un jeu solo qui propose un vrai challenge, saurez vous le relever ??
Onirim est un jeu de Shadi Torbey, édité par Filosofia et distribué par Asmodée, pour 1 à 2 joueurs, pour des parties de 15 minutes.