Dreadnought
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[gamescom 2016] Dreadnought, on a joué au mode Onslaught

« Dreadnought est un titre qui fonctionne très bien pour le moment dans sa configuration cinq contre cinq mais nous avons voulu lui offrir une dimension encore plus épique. Nous avons voulu faire un jeu dans lequel vous pouvez revivre de grandes batailles spatiales comme Star Trek, Star Wars ou Battelstar Galactica. » Ok vous avez mon attention, où achète-t-on le jeu ?

Dreadnought

Le titre de Yager se trouve en bêta fermée depuis quelques mois et jouit d’une belle côte de popularité auprès de sa communauté. Il faut dire que les créateurs de Spec Ops: The Line n’ont pas fait les choses à moitié en concevant un titre malin alors que l’on contrôle des machines de plusieurs centaines voire milliers de tonnes. Dreadnought est un jeu multijoueur dans lequel des personnes se battent avec des vaisseaux spatiaux monstrueux en orbite basse. Actuellement le seul mode disponible est un duel d’équipes de cinq joueurs où le vainqueur est celui atteignant un certain nombre de points le plus rapidement (team deathmatch). La gamescom a été l’occasion pour Yager, SixFoot et Grey Box de montrer le nouveau mode Onslaught.

Effectivement plus proche des films et séries cités plus tôt, Onslaught oppose deux équipes de huit joueurs dans de grandes cartes remplies de petits vaisseaux dirigés par l’IA. Comme le team deathmatch, la première équipe a atteindre le score ciblé gagne la partie mais ici, éliminer l’IA octroie aussi des points à votre escouade. Avec seize cuirassés plus les petits, les combats deviennent encore plus intenses et on ressent effectivement une sorte de bordel ambiant quand tous les canons se mettent à vrombir d’une seule voix.

Dreadnought

Chaque vaisseau amiral est personnalisable, du type d’armes à la couleur du blindage et chaque détail est visible. Vous décidez d’enlever cette batterie de canon et mettre des lasers à la place, le moteur du jeu tournant sous Unreal Engine 4 rend fidèlement ce que l’on peut imaginer d’un monstre de guerre spatial. Il faut veiller à équilibrer son équipement sur son propre vaisseau mais aussi en fonction de ce que votre équipe propose. Comme tout jeu de ce genre, Dreadnought se repose sur un système vaguement ressemblant au célèbre feuille-pierre-ciseaux. Par exemple le Monarch (un énorme Dreadnought) sera très lent mais extrêmement puissant, avec un rayon tracteur alors que la corvette sera très agile mais faible car spécialisée dans ce que j’oserais appeler les coups de pute (arriver dans le dos d’un ennemi avec un camouflage visuel puis balancer des torpilles). Dans un mode comme Onslaught, il faut donc suivre l’évolution de la bataille à chaque seconde afin de découvrir les forces et faiblesses de l’équipe adverse pour choisir convenablement le vaisseau qui fera pencher la balance de votre côté.

Yager a aussi beaucoup appris de cette longue bêta et promet une mise à jour majeure cet automne. Au programme une grosse refonte de son système d’évolution. Les vaisseaux auront alors cinq niveaux d’amélioration (on appelle ça un Tier 5 dans le jargon) ainsi que plusieurs manufactures auprès desquelles s’équiper. Chaque atelier aura son propre arbre de progression, de même que vos navires qui auront leur arbre de compétences à débloquer au fur et à mesure des parties.

Dreadnought

La bonne demi-heure sur le mode Onslaught de Dreadnought m’a réellement convaincu. Les batailles sont prenantes, chaque classe de vaisseau est différente et on prend gout à toutes les tester, les effets visuels sont magnifiques, il nous reste plus qu’à attendre l’ouverture au public de la bêta afin de découvrir ce titre. Si vous êtes du genre pressé-e, vous pouvez dépenser 10€ dans un pack de base pour accéder à la bêta fermée. Pour préciser une chose, Dreadnought sera free to play et proposera donc des packs à acheter pour débloquer des choses plus rapidement.

Nous avons eu la chance d’interviewer Peter Holzapfel, game director chez Yager, afin d’en apprendre un peu plus sur le jeu, le futur, son modèle économique, etc. Rendez-vous dans quelques jours pour l’écoute.

Site officiel de Dreadnought : https://www.greybox.com/dreadnought/

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Élevé à la sauce PlayStation, Thomas est un gamer touche à tout mais qui joue toujours à des anciens titres. Il partage cette passion depuis 2008 et est passé par toutes les cases, du blog à Dailymotion et même la radio pendant 4 ans. Il tente maintenant de faire découvrir ce milieu au plus grand nombre via TechArtGeek ou via des vidéos sur YouTube ou Twitch.

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