Mount & Blade II: Bannerlord
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[gamescom 2016] Preview de Mount & Blade II: Bannerlord

Mount & Blade et ses extensions est une saga méconnue. Plutôt réputée parmi les adorateurs de simulation de combats médiévaux, le jeu turque a réussi à se forger une grande communauté et accueille des dizaines de mods très connus comme cRPG dont les créateurs ont créé Of Kings And Men. Les développeurs de TaleWorlds, forts de huit ans d’expérience, ont enfin décidé de sortir une suite, Mount & Blade II: Bannerlord, dont on a pu assister à la présentation d’un siège.

Pour ne rien vous cacher, une vidéo est déjà disponible sur YouTube depuis la fin de la gamescom, je n’ai donc pas beaucoup de choses à vous dire de plus. Nous avons pu voir d’autres choses comme la diplomatie, je vais vous faire un rapide résumé ce qui nous a été dit sous la vidéo.

Vous venez surement de visionner une bataille dans laquelle vous deviez vous défendre face à une armée bien décidée de mettre un terme au siège qu’elle mène depuis un moment. Il est possible de préparer sa défense avant l’assaut, en plaçant des tourelles ou des groupes de soldats aux endroits stratégiques (archers en haut avec quelques fantassins contre les échelles). Un déploiement automatique est disponible. Les solutions pour repousser l’ennemi sont nombreuses et très bien pensées comme le lancer de pierres, l’utilisation d’un arc, etc. Vous avez aussi remarqué qu’il n’y a pas de tir allié, notamment dans la phase de défense de la grande porte. Cela peut être dérangeant au premier abord mais c’est préférable quand tu as un léger aspect beat them up où il faut taper dans le tas. Les projectiles et dégâts sont tous simulés avec une physique réelle (on n’a pas pu le vérifier mais on va croire les gens du studio) et il n’y a aucune caractéristiques RPG pour les Hommes et les armes. Si ça touche, ça touche. Si ça doit tuer, ça tue (une flèche dans la tête, c’est l’extinction des feux et non pas quelques points de vie en moins). Enfin la présence de votre héros booste vos compagnons proches, il faut alors penser à se déplacer près des points chauds pour leur venir en aide aussi bien mentalement que physiquement.

Mount & Blade II: Bannerlord

La dimension diplomatique n’est pas présentée dans la vidéo, laissez-moi vous l’expliquer rapidement. Le siège de la vidéo n’est que le résultat d’un autre seigneur venu prendre gentiment possession de vos terres. Un peu têtue (au féminin, vous incarnez une femme ici, qui ressemble beaucoup à Ygritte si vous voulez mon avis, cela ne me dérange pas, je l’aime en secret) vous refusez bien entendu cette offre. Le siège commença ainsi que les bombardements. Une autre chose non montrée et qu’il est possible de faire une sortie éclair pour tenter de faire le plus de dégâts possible, ce qui se résultat par quelques morts regrettables dans votre camp mais des catapultes inutilisables dans le leur. La diplomatie fonctionne sur le principe d’offre et de demande (comme Civilization par exemple), vous pouvez donner ou demander des fiefs, des prisonniers, des objets, de l’argent, demander la paix, etc. Une barre se remplie en fonction de notre proposition et si elle est assez remplie, l’échange se réalise. Après la déculottée prise dans la vidéo, l’IA demanda qu’on arrête les conneries parce que bon, notre héros proposa quelques terrains en échange de la paix, ce qui fut accepté. Le camp et les vies de nombreux hommes et femmes étaient sauvées.

Mount & Blade II: Bannerlord se présente très bien, ses aspects militaire et politique semblent très prenants et bien réalisés. Les batailles sont tactiques et toutes les choses montrées semblent nous proposer un éventail de solutions de batailles à faire pâlir n’importe quel mordu de baston médiévale. Il n’y a pas encore de date de sortie officielle (à part que cela sera surement l’année prochaine) mais on est sûr que cela sera sur Windows et certainement PlayStation 4 aussi. En attendant, je vais surveiller ça de près car je ne connaissais pas très bien la licence et j’ai envie d’en savoir plus maintenant.

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Élevé à la sauce PlayStation, Thomas est un gamer touche à tout mais qui joue toujours à des anciens titres. Il partage cette passion depuis 2008 et est passé par toutes les cases, du blog à Dailymotion et même la radio pendant 4 ans. Il tente maintenant de faire découvrir ce milieu au plus grand nombre via TechArtGeek ou via des vidéos sur YouTube ou Twitch.

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