gamescom 2018 – Interview de Mark Smart et Chris Knott – Two Point Hospital
Mercredi 22, 15 h 00, stand SEGA B2B
Quelles sont les personnes les plus aptes à parler d’un jeu vidéo ? Les créateurs bien sûr ! Et que se passe-t-il quand on les laisse décrire leur oeuvre sans interruption ni question chiante ? Enfin si, quelques questions chiantes quand même sinon ne sera pas drôle. Cela génère une espèce d’interview où les membres du studio interviennent pour nous faire découvrir leur jeu avec beaucoup d’amour. Voici « Parle à mon dev », une émission enregistrée en direct des différents événements dans lesquels nous nous déplaçons.
Présentation de Two Point Hospital
Je vous ai déjà parlé de Two Point Hospital car après son annonce, j’étais complètement fou. Il s’agit tout simplement de l’héritier légitime du chef d’oeuvre Theme Hospital sorti dans les années 90 : un jeu vidéo de gestion d’hôpital. Sauf que cet hosto accueille des malades de toutes sortes et totalement normales comme des fantômes par exemple…
Mon rendez-vous durant la gamescom ne devait concerner qu’une rencontre avec deux des créateurs mais une autre personne n’a pas pu venir à l’heure prévue. J’ai donc profité de ses quelques minutes de retard pour essayer le jeu et c’est tout simplement génial. On retrouve les mécanismes du jeu de Bullfrog avec la technologie de 2018. C’est joli et drôle, et l’aspect gestion est bien pensée. Bref, en moins de 10 minutes d’essai je suis tombé amoureux et je pense m’acheter le titre sur un coup de tête.
L’interview
J’ai donc eu l’opportunité et la chance de rencontrer Mark Smart et Chris Knott, respectivement art director et lead animator chez Two Point Studios. Je leur demande de présenter le jeu mais aussi pourquoi ils pensent être obligés de faire un jeu humoristique quand il s’agit de gérer un établissement de soins. D’autres questions rigolotes viennent s’ajouter dans ces quelques minutes (comme le fait d’éviter de faire un jeu qui ne se termine pas comme à l’époque) et une responsable de SEGA manque de tomber (pas le cadre mais cela nous a fait un peu peur !)
Attention, l’interview est en anglais !
