Mon rapport aux jeux de foot et comment je perçois PES 2019
Nous sommes arrivés au mois de mars 2019 et je n’ai toujours rien écrit sur PES 2019 que j’ai gentiment reçu il y a plusieurs mois. À vrai dire, je ne savais toujours pas quoi dire. Le comparer par rapport à celui de 2018 : tout le monde l’a fait. Le comparer par rapport à FIFA : tout le monde l’a fait. C’est donc une page blanche qui est restée telle quelle de nombreux mois. Il y a eu bien sûr mon déménagement qui m’a éloigné de mon PC de rédaction et de ma PS4 (c’est toujours plus ou moins le cas), mais je faisais quelques soirées PES avec les copains depuis novembre dernier. C’est suite à une longue nuit de coopération en ligne de défaites incessantes que m’est venu l’idée de vous raconter ce qu’est pour moi un bon jeu de foot et pourquoi PES 2019 en est un malgré de très lourdes fautes disqualificatives.
Sommaire
Un peu d’histoire
Chaque année c’est la même rengaine : comment vais-je parler du jeu vidéo de foot sur lequel je passe de nombreuses heures ? Marronnier depuis une vingtaine d’automnes, le football virtuel fait couler beaucoup d’encre en même temps que le sel déversé par les joueurs en quête de régicide numérique. Qui de PES ou FIFA est le meilleur ? Qui est le plus beau ? Qui a le gameplay le plus réaliste ? Tant de questions redondantes qui m’exaspèrent alors que le principal but d’un jeu vidéo est de jouer donc de s’amuser.
Pour vous démontrer le caractère ludique de PES 2019 et pourquoi j’ai choisi la licence de Konami et non celle d’Electronic Arts depuis de nombreuses années, laissez-moi vous raconter une longue histoire à travers les âges et mes découvertes de différentes œuvres footballistiques.
L’avènement du genre par la PlayStation
Les jeux de foot n’ont certes pas vu le jour sur la première console de Sony, mais j’ai l’intime conviction qu’il s’agit du support à partir duquel tout s’est déclenché. Certains diront que Konami et son International Superstar Soccer 64 sont à l’origine de la nouvelle garde, mais FIFA 98 : En route pour la Coupe du monde est à mon sens plus représentatif de la révolution qui a suivi.
Rendez-vous compte, FIFA 98 comportait 172 nations officielles, des stades officiels, des dizaines de clubs officiels, les vrais noms, des visages proches de la réalité (pour ce qui était possible à l’époque) et une musique qui trotte encore et toujours dans ma tête avec le tube planétaire Song 2 de Blur.
Mais ce n’est pas avec FIFA 98 que j’ai commencé à titiller le ballon rond. C’est l’un de mes studios préférés des années 90 qui m’avait surpris pour la première fois avec un titre très fun, arcade et facile de prise en main. Psygnosis venait de sortir Adidas Power Soccer et mon pote Florent en avait une copie. On enchaînait les matchs avec Marseille et des tirs depuis le milieu de terrain en appuyant simultanément sur Croix et Triangle. De l’amusement à l’état pur.
C’est alors que nos chemins se séparèrent avec Florent que j’eus l’envie d’avoir aussi un jeu de foot à lancer à la maison sur la PS1 récemment reçue durant le Noël 1997. C’est très certainement en lisant PlayStation Magazine – le seul moyen pour suivre les news de la console dans mon patelin – que j’ai appris l’existence de FIFA 98. Quelques mois plus tard après des économies ou de longues négociations avec mes parents (je ne sais plus), la galette était arrivée.
La grande force du titre d’Electronic Arts résidait bien entendu dans son contenu, mais aussi son gameplay orienté arcade sans oublier de tirer les taquets vers une certaine simulation. C’est avec une très grande profondeur de jeu et sa fidélité vis-à-vis des clubs et sélections nationales que ce titre a fait sa renommée.
Je me souviens encore des nombreuses heures passées avec mon pote Thomas au contrôle de Cuba pour tenter de gagner la Coupe du monde (pourquoi pas ?) ou des parties dans un match en salle où l’on désactivait l’arbitre avec comme seul objectif de bloquer le score à 99 à l’aide de tacles assassins sur le gardien adverse pour que chaque tir fasse mouche.
On avance dans le temps, me voilà au lycée, certains ont lâché le jeu vidéo pour l’alcool. Pas moi. Il m’en fallait alors toujours plus, quelque chose qui m’offre du challenge. J’adorais le foot virtuel alors que dans la vie j’étais toujours le dernier choisi lors d’un match au collège, c’était une façon pour moi d’évacuer une frustration. Après la Coupe gagnée à la maison en 1998, j’achetais chaque septembre un bouquin sur les transferts de l’été pour les répercuter dans mon FIFA. Alors que mon magazine habituel s’était transformé en PsOne Magazine, je me souviens vaguement d’un 10/10 qui m’avait fait chavirer.
La bombe ISS Pro Evolution 2 venait d’atterrir en Europe et allait tout exploser sur son passage. FIFA 2000 était nul (j’avais un peu testé une version pirate sur PC), le nouveau jeu de Konami devait être mien. Acheté au Je Console du coin, je découvris une autre facette du football : la simulation intransigeante qui demande de l’apprentissage. Beaucoup d’apprentissage. Au passage, au-revoir aux licences officielles, mais qu’importe car c’est le gameplay qui fait tout. On oublie aussi l’aspect arcade, on est ici face à un titre qui demande de la précision et de la concentration. Il fallait s’accrocher pour faire monter sa petite équipe de personnages inexistants dans la Master League. Puis on gagnait de l’argent, on achetait Thierry Henry et toutes les autres stars de l’époque pour espérer monter en première division, puis enfin ramener la coupe à la maison.
Le sacre du roi
C’est bien plus tard que je me remis au foot virtuel. C’est un copain de l’IUT qui emprunta quelques jours ma Xbox – la PS1 avait cramé et c’est une Xbox qui la remplaça un an plus tard – pour la triturer afin d’accueillir un disque dur et un système d’exploitation offrant la possibilité de récupérer des jeux sur internet. Ce fut une période où je ne pouvais jouer que le week-end (pas possible de jouer dans ma chambre d’étudiant), mais qui fut ponctuée de nombreux matchs sur PES 4 et PES 5 tombés involontairement d’un camion… C’est d’autant plus paradoxal de pirater certains des meilleurs jeux de tous les temps alors que j’avais acheté FIFA 2004 qui s’était avéré plus que mouif… J’ai maintenant fait amende honorable, j’ai un salaire, j’achète donc ce dont j’ai besoin (afin ce n’est pas vraiment un besoin, mais vous voyez le truc) tout depuis plus de 10 ans.
Tout comme au lycée, c’est principalement avec un pote, Loïc, que j’ai passé des tonnes d’heures sur PES (après ISS Pro 2). Je me souviens encore avoir pris Sochaux dans une incompréhension totale puis de lui faire gravir toutes les étapes du succès. On avait même réussi à péter le jeu où toutes nos actions se soldaient par un débordement sur l’aile qui s’enchaînait avec une passe en retrait dans la surface pour terminer sur un but quasi systématique. On avait même nommé cette tactique la PAF en hommage à l’attaquant star de l’équipe Pierre-Alain Frau.
Le sacre de l’autre roi
Alors que mes études durent (putain cinq ans !), me voilà loin des amis avec qui je passais mon temps devant Halo ou PES. Ce fut donc une époque où je ne jouais plus vraiment au football à la manette. Encore moins en vrai malgré un an et demi en club pour tester (ce fut un échec critique). Vous commencez sûrement à comprendre mon sentiment par rapport à ce genre.
Pendant ce temps-là, FIFA avait réussi à voler la couronne à PES et se la racontait devant tout le monde. C’est par curiosité que je me laissai tenter par FIFA 09 et 11 sur PlayStation 3. Je n’ai jamais accroché à ces titres malgré la hype et le consensus mondial disant qu’il s’agissait de très bons titres.
C’est alors qu’on cherchait quoi manger dans le centre-ville de Nantes, qu’avec mon ami Adrien on rencontra deux autres personnes. L’un était connu, l’autre pas du tout. Ce dernier nous invita chez lui regarder un match de Ligue des Champions. Au fil de la discussion, il s’avéra qu’il était un gros joueur de PES puis il nous invita à une autre soirée pour se faire du deux contre deux.
Montée en puissance de la résistance : manual forever!
FIFA était clairement au-dessus du lot au début des années 2010, je ne comprenais pas pourquoi les gens s’obstinaient avec PES. C’est alors que Thomas (c’est le nom de notre nouvel hôte) et ses amis nous accueillirent et nous donnèrent une règle très simple : ici on joue en manuel.
Le mode manuel oublié de tous – dont principalement les journalistes qui traitent de PES chaque année – est une configuration des contrôles qui consiste à supprimer toutes les aides aux joueurs. Un peu comme si vous lanciez Forza sans le tracé au sol, sans l’aide au freinage, en boite manuelle, etc. Si dans les jeux de course cela peut paraître logique, normal et classique, ce n’est pas du tout le cas dans le football. Le mode manuel, ou FUMA pour les intimes (pour Full Manual), fait que la direction donnée au stick déterminera la direction exacte du ballon lors d’une passe ou d’un tir. De plus la balle ne subira pas une modification aimantée de sa trajectoire pour atterrir comme par magie dans les pieds d’un coéquipier. Ici, si vous visez derrière un mec qui court, vous raterez votre passe. Idem pour les tirs, si vous avez fait un crochet juste avant votre frappe avec le stick en direction de la touche et que vous tirez sans corriger la visée, ça ira directement sur la tête d’un pauvre stadier.
Combinez alors de longues soirées en deux contre deux, en mode manuel avec plusieurs amis et je peux vous assurer que vous allez vivre de très belles expériences footballistiques. Et si vous voulez aller encore plus loin, faites comme nous : procurez-vous une vingtaine de gashapons, récupérez les boules vides et mettez-y le nom d’un club à l’intérieur. De cette façon chaque match et chaque équipe sont tirés au sort, comme ça, pas de jaloux !
Et PES 2019 dans tout ça ?
Cette longue et sûrement chiante introduction était nécessaire pour vous faire comprendre ce que j’attends d’un jeu de foot : il faut qu’il soit fun à jouer tout en étant exigeant avec un gameplay fin et précis. Cela génère très souvent des rencontres dont l’issue est un écart d’un petit but. On ne voit pas des scores dignes d’un set de tennis comme lors des matchs officiels sur FIFA ou PES dont les contrôles sont réglés en automatiques (appelés les FUTO chez nous). Je me rappelle encore passer chez Electronic Arts lors de la gamescom 2017 et voir des joueurs ultra forts, j’avais l’impression de voir une simulation de flipper tellement la balle passait de jambes en jambes sans aucun temps mort. Au bout d’un moment les mecs se mettent à jouer contre la méta du jeu elle-même.
Et c’est là que viennent les limitations d’un tel exercice : les FUMA ne peuvent jouer qu’entre eux mais nous sommes largement en infériorité numérique. Face à des FUTO d’un niveau équivalent (si tant est qu’il est possible de comparer), la victoire est quasiment prédite dès le début.
Prenons l’exemple de soirées où nous ne pouvons être que trois. Konami a créé un mode de coopération très intéressant (depuis une ou deux éditions) mettant en scène six joueurs répartis en deux équipes. Lors d’une soirée, on se met naturellement tous les trois dans la même équipe et on cherche des adversaires. Comme je le disais précédemment, si les opposants sont en FUTO avec un brin d’expérience, on perd presque tout le temps. Comme le dit Monsieur Quinton dans la vidéo plus haut, c’est un tout autre jeu et les automatiques sont tellement privilégiés qu’il faut s’arracher ou espérer un miracle pour gagner.
Ajoutez à ce défaut la présence des compositions modifiées grâce au mode myClub qui consiste à créer une équipe en achetant des joueurs. Neuf matchs sur dix vous aurez une attaque avec C. Ronaldo ou Messi ou des stars légendaires comme Maradona. Mais ce n’est pas tout ! Imaginez qu’un mec démarre un match coopératif tout seul, il y a de grandes chances qu’il ne soit pas rejoint par des inconnus. Dans ce cas de figure, le solitaire est accompagné de deux joueurs contrôlés par une intelligence artificielle survitaminée. Bref c’est la branlée assurée.
Pourquoi s’efforcer à jouer en FUMA alors ?
Tout simplement pour la beauté du sport. Le football est une disciple que je trouve plutôt chiante à vrai dire. C’est un moment composé de longues observations, de tentatives souvent avortées, d’allers-retours continus sans intérêt puis vient le moment où la faille a été trouvée, un coup de génie a été enclenchée, puis le ballon se trouve au fond des buts. C’est le seul jeu et le seul mode (FUMA) qui permettent de retranscrire vraiment ce qu’est un match de foot.
Peu importe si le bonhomme s’appelle Ronalcrado plutôt que Ronaldo ou que le club se nomme Canari FC plutôt que Nantes (même si cela a plus ou moins disparu), peu importe que la Ligue des Champions soit partie chez EA (de toute façon ça ne servait à rien), PES 2019 offre une expérience folle si vous y mettez du vôtre en désactivant les aides.
Pour les personnes qui veulent un opus classique, vous trouverez un jeu magnifique avec des joueurs très réalistes avec un visage et des mouvements très proches de la vie réelle. Il n’y a pas tous les pays ni tous les clubs, mais on y trouve les principaux européens. Les maillots et noms sont généralement faux mais Konami permet à la communauté de tout modifier et de partager (ils sont très malins) afin d’avoir une expérience comme si l’éditeur japonais possédait toutes les licences à l’instar de son éternel concurrent.
De nombreux modes de jeu sont aussi disponibles que ce soit des coupes et championnats classiques, ou des choses plus habituelles pour PES comme la Ligue des Masters ou le mode carrière qui vous permet de créer un professionnel de toutes pièces puis de le faire évoluer en Europe en quête de gloire. Tout comme le mien nommé Michel qui a débuté au fin fond de la Russie. Ce n’est pas chose aisée, mais on s’amuse à enchaîner les matchs sur le banc puis de faire ses preuves pour devenir titulaire, d’espérer une sélection pour sa mère patrie serbe, et se faire remarquer pour ensuite être recruté par le FC Maubeuge. Le rêve de toute une vie. Mais toujours en FUMA !
La parole est aux joueurs
Comme je le disais précédemment, mon expérience avec les jeux de foot a toujours été meilleure en compagnie de bons amis. Si la vie fait qu’on s’éloigne parfois les uns des autres et pas toujours de la meilleure des façons, je tiens à remercier toutes ces personnes sans qui cela ne ferait pas plus de 20 ans que je parcours les gazons virtuels.
Sur la proposition d’un ami, Thomas qui nous héberge presque toutes les semaines en l’occurrence, j’ai demandé à certains avec qui nous jouons à PES 2019 en FUMA de donner leur avis sur le jeu. Voici la petite liste par ordre alphabétique.
La seule chose que je pourrais ajouter, c’est que pour un ancien joueur de foot intense, la satisfaction de réaliser des actions (buts, dribbles, passes décisives…) en FUMA est assez proche de celle sur le terrain, avec des crampons aux pieds et finalement c’est ça, pour moi, un bon jeu de foot !
Adrien
La construction me semble pertinente. J’aurai tendance à penser que PES a souvent suivi les évolutions du foot pour modifier son gameplay (joueurs roi ; possession à la Barça ; refonte défensive pour des matchs plus tactiques…) Avec l’avènement du online le jeu est naturellement tiraillé entre sa nature de simulation et le culte de la performance (avec inscription d’une méta game). Ça donne en effet des résultats paradoxales et pas du tout complémentaires.
Guillaume (https://twitter.com/gehenne/status/1104821465990479872)
Les évolutions souhaitables pour les joueurs FUMA : un contrôle FUMA préréglé dans le jeu pour une véritable configuration Full Manual sans avoir à faire les modifications nous-mêmes d’assistance au tir et à la passe, qui permettra plus facilement à Konami de mettre un véritable filtre FUMA pour les modes en ligne. De plus je pense que ça incitera plus facilement les joueurs à essayer cette configuration.
Les plus extra :
– Un filtre dans le mode coopération en ligne pour ne pas avoir à affronter des équipes MyClub (top priorité)
– Les commentaires japonais de Jon Kabira comme à l’époque des Winning Eleven, version japonaise des Pro Evolution Soccer. SHOOOTTOO !!!
– Retour du mode communauté qui permettait de faire des tournois entre amis que ce soit offline ou online, avec classement des buteurs, passeurs, gestion des cartons, etc.
Thomas
Analyse de PES 2019
Première remarque à propos de PES 2019 : il n’y a pas d’histoire, on supprime donc la valeur associée au Fond. Ensuite le jeu est très simple d’accès et plaisant, ce qui propose beaucoup de Fun. La frustration liée au multijoueur enlève directement un point. La Forme n’est pas non plus au top car même si le moteur fait des merveilles, on a déjà vu mieux en ce qui concerne les visages. D’autant plus que les grandes stars partagent l’écran avec le ballet des horreurs quand il s’agit d’évoluer avec des clubs de seconde zone. Ensuite la politique tarifaire est classique avec des microtransactions donc caca (mais le jeu est souvent bradé définitivement au printemps). Enfin, si vous avez un handicap, ne comptez pas jouer à PES sans un système externe…
Fiche du jeu
Titre : Pro Evolution Soccer 2019
Style : football
Développeur / éditeur : Konami
Sortie : 30 août 2018
Plateformes : PlayStation 4, Xbox One et PC (Windows)
PEGI : 3
Prix : environ 50€
Langues : français disponible
Site officiel : https://www.konami.com/wepes/2019/eu/fr/
Informations à jour au 10 mars 2019
Trailer de PES 2019
Notre avis final sur PES 2019
Drôle d’exercice que de parler de PES 2019 tant il cotoie les moments sublimes que les frustrations les plus profondes de mon âme. Et le pire dans tout cela est que je ne peux pas vraiment en vouloir à Konami car c’est moi (enfin mes amis m’ont forcé !) qui ai décidé de jouer en FUMA. Quand on joue entre membres de cette secte, le jeu est quasi parfait. Je regrette quand même des décisions arbitrales débiles ou des contacts entre joueurs qui ressemblent parfois à un duel de marionnettes dirigées par des bras chargés à 3 grammes. On note toutefois un système défensif plus compact qui laisse plus de place au milieu de terrain pour construire. Cette édition recèle de très belles idées, ce serait dommage de passer à côté. Si jamais vous n’avez toujours décidé de le prendre (on se sait jamais !), vous avez mon aval. Et venez tester le FUMA, on est bien, bien, bien !
Les plus : une physique de balle très bonne / la modélisation faciale et physique de beaucoup de joueurs / le mode carrière / le FUMA / la construction en milieu de terrain / la coopération en ligne
Les moins : les FUTO en multi / les collisions chelou / les arbitres parfois sous drogue / les licences (mais ça on est habitué) / les commentaires français
Très bon ! Mais entre FUMA uniquement.
Si FUMA versus FUTO, le jeu n’est pas recommandé.
Si FUTO uniquement, c’est un bon cru.
Le test s’est déroulé très lentement car j’ai d’abord fait une carrière durant quelques heures, ainsi que quelques matchs. Mon pote Thomas est rentré sur Nantes en novembre, ce qui a repoussé nos rencontres pour les soirées foot. J’ai attendu de faire quelques soirées avant de rendre mon verdict. Je possède le jeu grâce à un envoi d’un code afin de le tester et de vous en parler. Le jeu de Thomas a été acheté à la FNAC du coin.